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VILLECOMTAL SUR ARROS ET SA VALLEE
3 juin 2016

FERMETURE programmée du Bureau de Poste de Villecomtal sur Arros dans le Gers ???...

Un nouveau coup de poignard dans le dos de la ruralité.

La fermeture du Bureau de Poste de Villecomtal sur Arros dans le Gers a été programmée pour décembre prochain.

C'est inadmissible. Nous ne pouvons accepter une telle intention de la part d'une administration qui a tout bonnement décidé d'appliquer la première injection létale à notre village, pourtant centre névralgique de la Vallée de l'Arros.

Ah, la loi de l'argent !!! Elle, et ses séides, n'ont cure du service rendu au public...

C'est bien triste.

En attendant, ne baissons pas les bras. Une pétition a été lancée en ligne contre cette fermeture programmée.

Je vous invite TOUS et TOUTES à la signer.

Plus nous serons nombreux à nous manifester et plus nous aurons de chance de faire plier l'hydre impitoyable.

Pétition visible sur : http://www.mesopinions.com/petition

 

petition-img-20239-fr

Addenda

 Derniers développements

Il semblerait, si l'on en croit le dernier bulletin municipal de la commune de Villecomtal-sur-Arros

de juillet 2016 que la fermeture définitive du bureau de poste n'était qu'une rumeur

totalement infondée.

Soit, admettons !

Laissons aux auteurs de cette "rumeur" et de la pétition, que j'ai choisi de relayer
et de porter

à la connaissance du plus grand nombre,
le soin d'apprécier.

Avons-nous été abusés par le ou les auteurs
de cette pétition ?

A moitié, si tel est le cas, car
il n'en demeure pas moins qu'à terme,

dans 3 ans, dans 6 ans,
la question se posera inévitablement.

Et il aura été démontré que cela ne se fera pas
sans l'ingérence du public
dans cette décision.

En attendant nous pouvons craindre une nouvelle réduction des horaires
d'ouverture du bureau de Poste
lors du renouvellement du contrat triennal
de présence postale
le 1er janvier 2017.

Nous avons déjà perdu une demi-journée d'ouverture
récemment,
sans oublier le départ des facteurs pour Miélan.

Les décideurs étant rarement les payeurs,
demeurons vigilants.

 

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