Le savoir-vivre, une valeur perdue...

          Le savoir-vivre, le savoir-être, le savoir-faire voudraient que lorsqu’on vous rend service, on ne va pas prodiguer ses largesses financières ailleurs…lorsque c’est ainsi que l’on peut faire pour remercier celui qu’on a sollicité et qui a gentiment répondu à l’appel lancé.

          Hélas ce talent social, ce savoir-vivre, ce savoir-être, ce savoir-faire, n’est plus dans l’air du temps…et plus que partout ailleurs dans un certain microcosme intello-associatif, plus préoccupé par l’objet de son combat, que par l’observance de ses règles…il est vrai non écrites…qui font le bien-vivre au sein d’une société déployant d’heureuses mœurs.

          Ainsi aujourd’hui je regrette d’avoir ouvert mes colonnes à une certaine association de notre vallée, association qui n’a manifestement aucun des talents requis pour donner du sens aux mots : reconnaissance, amitié et…intelligence.

          Ce n’est pas parce que l’on croit avoir un combat à mener, que tous les moyens sont bons pour y parvenir, y compris  celui peu civil de se servir des autres.

          Ne l’oubliez pas, mesdames et messieurs, il n’est de combats qui se gagnent sans respecter certaines règles, à commencer par le respect de ses soutiens.

          Il y a une chose dont je suis sûr ce soir, c’est que si le projet que vous combattez ne se concrétise pas, ce ne sera absolument pas du fait de votre ou vos actions.

          Allez, pour vous faire toucher du doigt ce qu’est la noblesse d’esprit, je laisse en ligne les billets déjà publiés, mais n’en publierai aucun autre.